Pokémon GO - Un succès controversé


Du poisson d'avril au succès planétaire

Pokémon GO n'était à la base qu'une vaste farce, lancée par Google le 1er avril 2014. A cette date, on avait parlé de chasser les Pokémon grâce à Google Maps, en réalité augmentée. Ce projet a fait rire, mais le plus ironique, c'est que les internautes et les joueurs du monde entier ont été très intéressés !
Aussi, après des années de conception et de recherche pour un investissement de près de 30 millions de dollars, Niantic fait enfin naître son jeu... Pokémon GO !

Un succès fulgurant

On aurait pu s'attendre à ce que le jeu ait du succès, mais à ce point, cela à surpris tout le monde. Dès la première semaine de sortie, le jeu génère des profits pharaoniques, avec près de 5 millions de dollars. Puis, dans les 2 semaines suivantes, l'investissement initial est largement dépassé.

Concernant les téléchargements de l'application, les chiffres sont tout aussi impressionnants car rien que durant les premières semaines de lancement, l'appli est téléchargée des millions de fois, conquérant peu à peu le monde entier. Les Pokémon semblent parler à toutes les générations confondues !

Un principe simple, qui mène à l'addiction

Comment jouer à Pokémon GO ? C'est simple, il suffit de se déplacer avec son téléphone, géolocalisé, et de capturer des Pokémon qui apparaissent en réalité augmentée. Ainsi, vous pourrez croiser un Pikachu sauvage en bas de votre immeuble, ou un Roucool en train de voler devant la boulangerie du quartier.
De plus, il vous sera possible de vous rendre à des Pokéstops pour acheter des objets vitaux dans le jeu, ou encore d'affronter de terribles champions dans des arènes.
Le temps où les joueurs restaient affalés dans leur canapé ou sur leur lit semble révolu !

Jusqu'où peut-on aller ?

La véritable question et tout l'enjeu de Pokémon GO, c'est finalement un peu ça : quelles sont les limites, puisque le terrain de jeu est le monde entier ?
Que faire lorsqu'un Pokémon rare apparaît dans le jardin de votre voisin, mais que vous ne pouvez pas y aller ? Il semblerait que des petits malins aient décidé de contourner les lois et de s'introduire chez d'autres gens, pour y capturer des Pokémon. On constate également des attroupements dans les parcs, et on croise même des chasseurs de Pokémon dans les cimetières.
Tous ces comportements ont été vivement dénoncés par les détracteurs du jeu, qui le trouvent dangereux et souhaiteraient l'interdire. Des accidents ont même été causés par des joueurs qui conduisaient en capturant des Pokémon !

Où s'arrêtera la folie Pokémon GO ? Ces créatures virtuelles continueront-elles inlassablement à envahir le monde réel, ou le jeu finira-t-il par être limité, voire carrément interdit ?
En tous cas, le phénomène "GO" ne semble pas près de s'arrêter, puisqu'on parlerait déjà d'un Harry Potter GO en préparation.

Et vous, avez-vous cédé au phénomène ?

Sources :

http://mashable.com/
https://www.ecoreuil.fr/Pokemon-Go/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pok%C3%A9mon_Go

Infographie complète sur Pokémon GO :

https://www.ecoreuil.fr/Pokemon-Go/assets/media/pokemon.jpg

Rédigé par :
Helene

Publié le :
17 Aoû 2016

Les meilleures excuses en cyber sécurité


Pour changer un peu des sujets que nous traitons habituellement, et parce que rire un peu, ça fait toujours du bien... Voici des perles d'excuses de sécurité de développeurs assez gonflés, il faut bien l'avouer. Un site s'est chargé de recenser ces phrases assez magiques. On aurait même du mal à croire que quelqu'un a réellement osé sortir de telles excuses !

Je vous laisse donc jeter un coup d'œil au site d'Excuses cyber sécurité. C'est vrai que ce n'est jamais facile de protéger les serveurs des attaques de pirates en tout genre, mais tout de même.
Vous pourrez naviguer dans les excuses et même en soumettre, si vous en avez de nouvelles à proposer.

Et vous, avez-vous déjà eu l'audace d'inventer de telles excuses ? On serait curieux de les lire...


Un autre petit exemple, pour la route !

Rédigé par :
Helene

Publié le :
27 Fév 2015

Et si le verbe "jouer" n'était plus d'actualité ?


Le monde du jeu vidéo ne cesse d'évoluer, cela ne fait aucun doute. Dorénavant, les jeux en ligne, notamment GTA5 ou World of Warcraft, n'hésitent pas à vous proposer de nombreuses activités. Très différentes les unes des autres, elles vont parfois bien au-delà du simple fait de "jouer".

Chaque jeu en ligne possède sa propre communauté, plus ou moins grande et fidèle selon le jeu en question. À titre indicatif, le nombre d'abonnés actifs de World of Warcraft (WOW) est désormais de 7,8 millions. Dans la plupart des cas, le joueur trouve un grand intérêt au jeu dans les premiers mois mais continue à jouer des années pour la communauté. Les éventuelles rencontres en ligne et créations de groupes de joueurs sont autant de choses qui peuvent lui donner l'envie de continuer à jouer. Quelques mots échangés sur un tchat interne au jeu peuvent rapidement se transformer en échange de contacts sur les réseaux sociaux, puis petit à petit on peut assister à l'apparition d'une relation bien plus étroite.

Dans certains jeux en ligne, les libertés offertes aux joueurs sont énormes. On pensera notamment à Grand Theft Auto 5 (GTA5), où certains joueurs évitent les combats, préférant se balader dans le jeu et analyser les moindres recoins de la carte. D'autres n'hésiteront pas à se servir d'un jeu comme moteur graphique pour réaliser des clips vidéo. Certains détournements s'éloignent cependant très nettement des frontières de la légalité, comme par exemple la vente d'objets ou d'argent virtuel.

Si se divertir est le but premier des jeux vidéo, sachez que le fait de jouer permet également d'acquérir certains compétences pouvant être utiles au joueur dans la vie de tous les jours. Vous pouvez très bien développer votre esprit de compétition en essayant de réussir les divers objectifs qui vous ont été fixés, avoir des responsabilités dans votre groupe de joueurs ou apprendre l'anglais en discutant avec des personnes habitant à des milliers de kilomètres de chez vous.

Le terme "jouer" fixe des limites à des activités qui en connaissent de moins en moins. La créativité des joueurs, ajoutée à celle des concepteurs, font du jeu vidéo un univers en constante évolution.

D'après un article de Kévin Ducros, étudiant en sociologie, publié le 12 avril 2014 dans la rubrique Le Plus du Nouvel Observateur.

Rédigé par :
Florian

Publié le :
06 Mai 2014

Adoption de l'amendement précisant la signalétique des jeux vidéo


Le Gouvernement a déposé un amendement sur le projet de loi relatif à la modernisation et à la simplification du droit et des procédures dans les domaines de la justice et des affaires intérieures. Adopté par l'Assemblée nationale le 16 avril dernier, cette modification a pour but de rendre la signalétique des jeux vidéo plus précise.

Le Syndicat des Éditeurs de Logiciels de Loisirs (S.E.L.L.) se félicite de cette adoption : "cette nouvelle réglementation vient reconnaître les efforts réalisés depuis plusieurs années par les éditeurs de logiciels de loisirs à travers la classification Pan-European Game Information". Utilisé depuis plus de 10 ans, le système PEGI est dorénavant employé par 31 pays, dont la France. Ce dernier est basé sur une double classification : par âge et en fonction du contenu du jeu vidéo, les consommateurs et les parents disposant ainsi d'une information plus claire et complète. Pouvant être considéré comme un modèle d'harmonisation européenne en matière de protection de l'enfance, il bénéficie de l'appui des principaux fabricants de consoles : Sony, Microsoft et Nintendo, des éditeurs et développeurs de jeux interactifs, mais aussi des administrations européennes et des consommateurs.

Selon le Gouvernement, cette signalétique est aujourd'hui "unanimement reconnue comme efficace et lisible pour le grand public". Les chiffres vont dans ce sens : plus de 600 entreprises utilisent ce système et un total de 21 800 jeux vidéo ont été ratifiés durant la dernière décennie.

"Nous sommes heureux de cette reconnaissance du système PEGI par les pouvoirs publics et plus largement de notre engagement en faveur de la protection des publics sensibles", souligne David Neichel, actuellement à la tête du S.E.L.L.

Rédigé par :
Florian

Publié le :
28 Avr 2014

Infographie du Web entre 2002 à 2012


Internet a beaucoup évolué en 10 ans, ou en 3 652 jours ou encore 87 648 heures ! Énormément de choses ont changé, ceux qui ont connu toute cette période comme moi en témoigneront. On remarquera que tout doit aller très vite et tout évolue très vite. On notera que le Web a pris une envolée considérable et que les chiffres risquent fort de continuer à s'accroître. Voici donc une infographie des différences majeures du Web entre 2002 et 2012 : The Internet A Decade Later (Source : BestedSites.com).

Rédigé par :
Stephane

Publié le :
03 Sep 2012

« Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin »